Équilibre, bel équilibre, es-tu là ?
Je t’espère, je t’attends, je te maudis, je te course, je te fantasme, je t’imagine depuis si longtemps.
À l’aube de ma soixantaine, j’ai la ferme intention de t’attraper enfin.
Et si je cours moins vite, si ma patience a ses limites, l’espoir est toujours là et mon imagination et mes fantasmes s’entendent comme larrons en foire.
Deuxième jour en mode détox. Votre Dame Plumette se fait légère.
J’ai faim, une sensation qui reste toujours bien mystérieuse pour moi, tant elle se fait rare.
J’ai passé mon après-midi hier à fermer les yeux en passant devant la coupelle de chocolats de Noël posée près de la caisse. À 16 heures, n’y tenant plus, tenaillée entre la faim, la gourmandise, l’envie de manger, j’ai ouvert une boite de champignons de Paris que j’ai dégustés tels des bouchées divines. J’y ai presque cru…
Puis entre deux clientes, sur le coup de 17 heures, j’ai fait coulé mon café, préparé une jolie soucoupe avec mes huit amandes et un carré de chocolat noir et je peux vous assurer avoir pleinement savouré cette bouffée de bonheur.
J’en ai presque oublié les Pères-Noël et autres petits anges dans leur papier multicolore.
Du fond de leur coupelle, ils m’ont narguée jusqu’à l’heure de la fermeture, mais votre Dame Plumette a tenu bon.
Attention bel équilibre, une Dame Plumette qui résiste à du chocolat est une Dame Plumette mooootiiivéééeee !!!
Promis, je vous raconterai la suite de l’histoire.
Belle journée mes très chères Plumettes.